#AudienceSolennelle2023 ⚖️🇫🇷 | Au Tribunal judiciaire de Lyon, une audience solennelle réinventée. Retrouvez le bilan de l’année 2022 au Tribunal en vidéo.
Merci aux équipes et bon courage ! Vous en aurez largement besoin
Passer au contenu principal
#AudienceSolennelle2023 ⚖️🇫🇷 | Au Tribunal judiciaire de Lyon, une audience solennelle réinventée. Retrouvez le bilan de l’année 2022 au Tribunal en vidéo.
Étudiant en Master Droit, parcours métiers de l'administration (droit public) à la FSESJ, Université de Haute-Alsace
1 ansMerci aux équipes et bon courage ! Vous en aurez largement besoin
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#QuaisduPolar 📚🕵🏼 | Le Festival Quais du Polar, qui célèbre sa 20e édition cette année, a connu un succès retentissant, avec des conférences captivantes organisées au Tribunal judiciaire de Lyon. Ces événements, qui ont attiré un public nombreux et passionné, ont permis aux festivaliers de se plonger dans les coulisses du monde judiciaire et de découvrir les rouages fascinants de la justice pénale. Les deux conférences, animées par des professionnels du droit et des auteurs de romans policiers renommés, ont abordé des thèmes d’actualité et d’une grande importance. La première conférence, intitulée « Cold cases et anciennes affaires judiciaires : boîte de Pandore ? », a réuni les auteurs Chris de Stoop, lauréat du #PrixPolaretJustice 2024 du Tribunal judiciaire de Lyon, Fabrice Epstein, Michelle Fines et Jean-Marie Pottier autour d’un sujet qui éveille la curiosité du public, réveille l’espoir de justice pour les victimes et leurs familles, et offre un aperçu des aspects les plus sombres de la société. La seconde, qui s’est déroulée autour du sujet « Des pros de l’enquête qui prennent la plume : nouvelle vie, ou nouveau costume ? », a permis aux festivaliers d’entendre les témoignages de François Molins, ancien procureur général près la Cour de cassation, Marie-Laure Brunel-Dupin, lieutenant-colonel de gendarmerie, cheffe de la division des Affaires non élucidées (DiANE), angelina delcroix, psycho-praticienne et autrice de thrillers, et Bernard Petit, ancien chef de la Police judiciaire, qui ont fait une présentation unique de l’envers du décor du système judiciaire et des enquêtes criminelles, relaté de façon captivante et authentique. Les conférenciers ont su retenir l’attention du public par leurs récits et leurs analyses éclairants. Ils ont également répondu aux nombreuses questions des participants, notamment pendant les séances de dédicaces, ce qui a permis d’enrichir les discussions et de susciter de nouvelles réflexions. Le succès des conférences du Festival Quais du Polar au Tribunal judiciaire de Lyon, cadre unique et symbolique, témoigne de l’intérêt croissant du public pour les questions juridiques et de l’importance de la littérature policière dans la compréhension de notre société. Cet événement renouvelé pour la troisième fois au Tribunal a été une nouvelle occasion de découvrir le monde judiciaire sous un angle nouveau et de rencontrer des auteurs et des professionnels passionnés par leur métier.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#QuaisduPolar 📚🕵🏼 | Le Tribunal judiciaire de Lyon décerne le #PrixPolaretJustice 2024 à Le Livre de Daniel de Chris de Stoop Créé à l’initiative du Tribunal judiciaire de Lyon pour le Festival Quais du Polar, et en partenariat cette année avec Libération, le prix Polar et Justice est décerné à une œuvre littéraire de non-fiction (enquête, true crime, témoignage, etc.) ayant un lien avec la justice ou les faits divers. Il est cette année décerné à Chris de Stoop pour son livre Le Livre de Daniel, paru aux éditions Globe. L’ouvrage livre le récit poignant du meurtre brutal de Daniel Maroy, un octogénaire, par des adolescents de Roubaix en quête d’argent. Le neveu de Daniel, Chris de Stoop, mène sa propre enquête et se constitue partie civile au procès des accusés. Le livre explore les thèmes de la violence gratuite, de la déchéance sociale, de la justice et du deuil. Chris de Stoop explore des questions sociales complexes avec sensibilité et nuance, sans tomber dans le manichéisme. Avec un style précis et émouvant, le journaliste happe le lecteur dès les premières pages, en mettant en lumière un fait divers tragique qui a marqué la Belgique et soulève des questions importantes sur la société contemporaine. Livre poignant et nécessaire qui explore des thèmes universels avec une grande humanité, Le Livre de Daniel est à la fois un hommage à un homme injustement arraché à la vie et une réflexion profonde sur la violence et la justice dans notre société.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#JusticedesMineurs ⚖️👦🏼 | Parce qu’ils sont confrontés quotidiennement aux réalités complexes des infractions commises par les jeunes, les professionnels du droit que sont les magistrats et les greffiers portent un regard avisé sur les meilleures approches à adopter en la matière. Pour cette raison, la Cour des comptes a souhaité effectuer un déplacement de terrain au Tribunal judiciaire de Lyon et rencontrer le 4 avril dernier les magistrats et la directrice des services de greffe judiciaires du Tribunal pour enfants, dans le cadre de l’élaboration de leur rapport public annuel portant sur les jeunes et la justice répressive. Cette visite a permis à l’équipe du Tribunal judiciaire de Lyon impliquée en la matière de partager, avec les magistrats de la Cour des comptes, leur connaissance approfondie des dynamiques sociales et des facteurs qui conduisent les jeunes à la délinquance et leur évaluation de l’efficacité des mesures répressives et éducatives appliquées aux jeunes délinquants.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
Après Alice Geraud pour Sambre. Radioscopie d’un fait divers, quel auteur sera récompensé cette année par le #PrixPolaretJustice du Tribunal judiciaire de Lyon pour le Festival Quais du Polar ? 🔍 Rendez-vous demain pour avoir la réponse !
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#LesCafésScientifiques ☕️👮🏼♀️👨🏽🔬 | Quand les experts font parler les écrits et les documents : le laboratoire de police scientifique de Lyon a inauguré cette semaine les « Cafés scientifiques » au Tribunal judiciaire de Lyon. Fruit d’une association unique entre l’Ecole nationale de la Magistrature, le Tribunal judiciaire et le laboratoire scientifique de Lyon, ces rencontres invitent l’ensemble des acteurs judiciaires, tant magistrats, avocats que fonctionnaires, à une pause scientifique afin d’appréhender techniquement et qualitativement les procédés indispensables dans les enquêtes pénales complexes. Après un accueil des chefs de juridiction, Dominique Lenfant, Président, Thierry Dran, Procureur de la République représenté, de Sandrine Lauper, directrice adjointe du laboratoire scientifique de Lyon, ainsi que de Mélanie Bouissou, coordinatrice régionale de formation, ce sont Nathalie Marles et Isabelle Lafont, expertes en documents et écritures, qui ont lancé conjointement cette série de rendez-vous scientifiques et parfaitement animé les dialogues techniques interactifs avec les professionnels judiciaires venus en nombre autour de l’analyse des écrits. Le prochain rassemblement, en juin 2024, portera quant à lui sur les nouvelles drogues de synthèse et promet de riches échanges sur un sujet d’actualité.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#RelationMagistratsAvocats 🧑🏽⚖️👩🏻💼 | À l’initiative du Conseil consultatif conjoint de déontologie de la relation magistrats-avocats, le 21 mars 2024 a marqué la première édition de la Journée nationale de la relation magistrats-avocats, fruit de la volonté partagée des deux professions de dialoguer sur des sujets d’intérêt commun et de valoriser les bonnes pratiques au service d’une justice de qualité. Le Tribunal judiciaire de Lyon a eu le plaisir de s’associer au Barreau de Lyon et à la Cour d'appel de Lyon pour l’organisation de cette journée, qui se tient le jour anniversaire de la promulgation du Code civil. C’est une réflexion sur la justice thérapeutique et de sa mise en œuvre locale qui au eu lieu au Nouveau Palais de justice : la prise en charge des personnes multiréitérantes, dont la délinquance est liée à une problématique de santé (addictions, trouble mental comorbidités addictions/trouble mental), dans le cadre d’un programme individualisé de suivi aux fins de réinsertion. Les échanges ont été précédés des interventions de Vanessa Lepeu, secrétaire générale du Siège, Brigitte Vernay, première vice-présidente en charge du Tribunal correctionnel, Sophie Muracciole, première vice-présidente en charge de l’Application des peines, Dominique Sauves, vice-procureure de la République, Camille Bories, juge d’application des peines, Marie Chevaux, juge au Tribunal correctionnel, Sylvain Douillard, psychiatre au pôle Santé mentale des personne détenues et Psychiatrie légale du centre hospitalier Le Vinatier, et Maître Valérie Saniossian. Les participants ont tous souligné l’importance d’une collaboration étroite entre les différents acteurs du système judiciaire pour garantir une mise en œuvre efficace de la pratique prometteuse qu’est la justice thérapeutique. Cette première journée nationale a ainsi été très encourageante pour l’avenir de la Justice, en montrant la volonté des magistrats, avocats et personnels de greffe de travailler ensemble pour améliorer le système judiciaire et garantir les droits de tous. Dans un cadre permettant l’association de l’ensemble des partenaires, le Tribunal a annoncé la poursuite ultérieure des échanges sur la thématique de la justice restaurative pour lui redonner l’élan et la place souhaitée par tous.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#PrixPolaretJustice 🕵🏼♀️⚖️ | Le jury du prix Polar et Justice 2024, créé par le Tribunal judiciaire de Lyon dans le cadre du Festival Quais du Polar pour distinguer une œuvre littéraire de non-fiction ayant un lien avec la justice ou les faits divers, s’est réuni aujourd’hui pour délibérer. Découvrez dès à présent les livres en compétition ! 📚 L’année dernière, le prix a été remis pour la première fois à Alice Geraud pour son livre Sambre. Radioscopie d’un fait divers. Le jury avait alors voulu récompenser l’exceptionnel travail d’enquête de l’autrice, sur la manière dont ont été traitées les victimes du « violeur de la Sambre » jusqu’à son arrestation en 2018. Les délibérations pour la remise du prix Polar et Justice 2024 se sont déroulées le 20 mars avec un jury composé de Dominique Lenfantin et Thierry Dran, président et procureur de la République du Tribunal judiciaire de Lyon, Alban POUSSET-BOUGERE et Sara Kebir, bâtonnier et vice-bâtonnière du Barreau de Lyon, Stéphanie Rébuffat, directrice de greffe adjointe du Tribunal, Myriam Fénina, substitute du Procureur de la République, Audrey Annessi et Valérie Chatelard, fonctionnaires de greffe, Alexandra Schwartzbrod, journaliste à Libération, et Hélène Fischbach, directrice du Festival. Après le réalisateur césarisé Dominik Moll en 2023, le jury comptait cette année parmi ses membres une personnalité de marque qui n’était autre qu’Alice Geraud, première lauréate du premier prix Polar et Justice. Les livres en compétition sont : 🗃️ L’affaire Emmett Till, de Jean-Marie Pottier (éditions 10/18) 🎵 Black Music Justice. Une histoire judiciaire des musiques noires, de Fabrice Epstein (éditions la manufacture de livres) 📖 Le Livre de Daniel, de Chris de Stoop (éditions Globe) 🎬 L’Encyclopédie du crime au cinéma, d’Alain BAUER et Christophe Boudsocq (éditions Gründ) 🇫🇷 Au nom du peuple français. Mémoires, de François Molins (éditions Flammarion) 🧠 Dans le cerveau du tueur. Monique Olivier – Michel Fourniret, de Michelle Fines (éditions Fayard) ✊🏾 Dulcie. Du Cap à Paris, enquête sur l’assassinat d’une militante anti-apartheid, de Benoît Collombat et Gregory Mardon (Editions Futuropolis) Le nom du lauréat 2024 sera dévoilé le 5 avril.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
Moment important de la vie de la justice lyonnaise, l’#AudienceSolennelle de rentrée du Tribunal judiciaire de Lyon ⚖️🦁 du 13 mars 2024 a été l’occasion de présenter les deux nouveaux chefs de la 3e juridiction de France. Après le discours préalable de Madame Marie-Christine Sorlin, première vice-présidente du Tribunal en charge du Service civil, le nouveau président du Tribunal, Monsieur Dominique Lenfantin, a été officiellement présenté. Entré dans la magistrature en 2000, Dominique Lenfantin a été successivement juge des enfants au tribunal de grande instance d’Amiens, substitut du procureur de la République à Lyon à partir de 2003, puis vice-président du tribunal de grande instance de Bastia en 2007. Nommé président des juridictions de Gap en 2009 puis de Montauban en 2014, il présidait le tribunal judiciaire d’Amiens depuis 2019 jusqu’à sa nomination à la tête du siège de Lyon, après celle de Monsieur Michaël Janas à la première présidence de la cour d’appel de Basse-Terre. Eu égard au Parquet, le discours d’introduction a été prononcé par Monsieur Éric Jallet, procureur de la République adjoint, chef de la division de la JIRS et de l’Action publique spécialisée, pour la présentation de Monsieur Thierry Dran en tant que procureur de la République de Lyon. Entré dans la magistrature du 1992, Monsieur Thierry Dran a successivement occupé les fonctions de substitut du procureur de la République à Papeete, puis à Montauban en 1997, à Saint-Pierre-de-la-Réunion en 1999 et à Toulouse en 2001. Il devient procureur de la République de Marmande en 2004, puis successivement aux Sables-d’Olonne en 2008 et à Chambéry en 2014. Il dirigeait depuis 2019 le parquet de Béthune jusqu’à sa nomination à la tête du parquet de Lyon, après celle de Monsieur Nicolas Jacquet en tant que procureur général de la cour d’appel de Toulouse. Il a été fait lecture du décret de nomination des deux nouveaux chefs de juridiction par Madame Christelle Marot, directrice de greffe du Tribunal. Comme chaque année, de nombreux acteurs de la vie publique et institutionnelle ont honoré de leur présence ce moment important de la vie de la juridiction lyonnaise et qui marque le début d’une nouvelle année judiciaire. L’audience solennelle a été suivie par un cocktail, réalisé par les jeunes de la Protection judiciaire de la jeunesse (P.J.J.), accompagnés par les professionnels de l’établissement de placement éducatif du Rhône et l’unité éducative de jour de Vénissieux.
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#LaJusticeRecrute 🔴 | Le Tribunal judiciaire de Lyon recrute un assistant spécialisé en cybercriminalité 👩🏼💻, rattaché aux cabinets d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée de Lyon. Il sera amené à exercer les missions suivantes : → apporter aux magistrats des éléments techniques en matière de nouvelles technologies et de cybercriminalité à dimension majoritairement financière → assister les magistrats et les officiers de police judiciaire agissant sur délégation des magistrats → assurer auprès des magistrats et des enquêteurs un rôle d’information et de veille ℹ️ Plus d’informations sur https://lnkd.in/daG7BkCn
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
#Hommage 🇫🇷 | La communauté judiciaire lyonnaise rend hommage à Robert Badinter, ancien garde des Sceaux et ministre de la Justice, disparu le 9 février 2024. Abolition de la peine de mort mais aussi renforcement des droits des victimes et des personnes détenues, réforme du Code pénal, lutte contre l’antisémitisme et l’homophobie : la Justice et la République dans son ensemble doivent beaucoup à Robert Badinter. Le Tribunal judiciaire de Lyon et le Barreau de Lyon, après décision commune des Chefs de juridiction et du Bâtonnier, se sont aujourd’hui associés lors d’une cérémonie au Nouveau Palais de justice pour saluer la mémoire de l’homme d’État et du grand serviteur de la Justice qu’il fut. L’histoire personnelle de Robert Badinter est intimement liée à Lyon, où sa famille se réfugie en 1941 pendant la Seconde Guerre mondiale alors que la ville se situe encore en zone libre. Son père Simon est arrêté par la Gestapo lors de la rafle de la rue Sainte-Catherine le 9 février 1943, ordonnée par Klaus Barbie, puis déporté à Drancy et dans le camp d’extermination de Sobibór, en Pologne. En 1983, pendant son ministère, Robert Badinter obtient de la Bolivie l’extradition en France de Klaus Barbie, qui sera jugé et reconnu coupable de crimes contre l’humanité à Lyon. En portant la loi du 11 juilet 1985 tendant à la constitution d’archives audiovisuelles de la justice, Robert Badinter permet l’enregistrement du procès car, dit-il alors, « ne conserver aucune trace de ce procès pour la mémoire paraît inconcevable ».
Identifiez-vous pour afficher ou add a comment
3 230 abonnés
Avocate passionnée par mon métier, je mets mes compétences au service des entreprises dans les domaines du droit du travail, droit de la sécurité sociale et protection sociale (conseil et contentieux).
1 ansJ’étais présente à cette audience solennelle et j’ai beaucoup aimé cette nouvelle présentation. Plusieurs corps de métiers de la justice étaient présents au côté du Président du TJ et des magistrats et pas seulement ces derniers avec leurs greffiers. Puis le discours a été prononcé par le président du TJ et le procureur, chacun à leur tour. Un bilan réaliste avec une volonté de faire mieux pour 2023 malgré les moyens que nous connaissons tous.